Artiste
Plasticien
Designer
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme est un souffle, chaque couleur une onde. Il peint comme on écrit un chant — un codex visuel où l’abstraction devient langage et où les toiles deviennent des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin, dans la lignée d’un Matisse, pour qui la peinture était un espace de paix et de jubilation. »
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme
est un souffle, chaque couleur une onde.
Il peint comme on écrit un chant — un codex visuel où l’abstraction devient langage et où les toiles deviennent
des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin,
dans la lignée d’un Matisse,
pour qui la peinture était un espace
de paix et de jubilation. »
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme
est un souffle, chaque couleur une onde.
Il peint comme on écrit un chant —
un codex visuel où l’abstraction devient langage et où les toiles deviennent des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin,
dans la lignée d’un Matisse, pour qui
la peinture était un espace de paix
et de jubilation. »
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme
est un souffle, chaque couleur une onde.
Il peint comme on écrit un chant —
un codex visuel où l’abstraction devient langage
et où les toiles deviennent des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin,
dans la lignée d’un Matisse, pour qui
la peinture était un espace de paix
et de jubilation. »
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme
est un souffle, chaque couleur une onde.
Il peint comme on écrit un chant —
un codex visuel où l’abstraction devient langage
et où les toiles deviennent des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin,
dans la lignée d’un Matisse, pour qui la peinture était un espace de paix
et de jubilation. »
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme
est un souffle, chaque couleur une onde.
Il peint comme on écrit un chant — un codex visuel
où l’abstraction devient langage et où les toiles deviennent des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin,
dans la lignée d’un Matisse, pour qui la peinture était un espace de paix
et de jubilation. »
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme est un souffle, chaque couleur une onde. Il peint comme on écrit un chant —
un codex visuel où l’abstraction devient langage et où les toiles deviennent des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin,
dans la lignée d’un Matisse, pour qui la peinture était un espace de paix
et de jubilation. »
Dans l’univers de Jean-Pierre Petit, chaque forme est un souffle,
chaque couleur une onde. Il peint comme on écrit un chant —
un codex visuel où l’abstraction devient langage et où les toiles deviennent des paysages intérieurs.
« Mon travail est une recherche spirituelle qui m’ouvre les portes du jardin,
dans la lignée d’un Matisse, pour qui la peinture était un espace de paix
et de jubilation. »
Ses œuvres composent une mélodie visuelle, un langage à décoder, où chaque visiteur est invité à ressentir une forme de liberté, de légèreté, voire de bonheur.
« Soudain, le catalogue de tous les signes s’ouvre et libère la grande mélodie de l’univers »
Biographie
Les débuts d’une vocation (1949–1969)
Né à Saint-Brieuc en 1949, Jean Pierre Petit se passionne très tôt pour le dessin. Il est initié à l’art par Renée Guilloux, épouse de l’écrivain Louis Guilloux, grand ami de son grand-père. Après deux années de cours du soir, il intègre les Beaux-Arts de Brest en 1966, dans l’atelier de Michel Auclair. Il poursuit son apprentissage auprès d'Alain Béraud et commence à enseigner le dessin d’art au lycée professionnel de Pleyben.
Explorations artistiques et engagement graphique (1970–1979)
Dans les années 1970, il entame sa carrière d’artiste et de designer. Après ses premières expositions à Brest et Saint-Brieuc, il rencontre le peintre Jean Dewasne, qui l’invite à travailler à ses côtés. Il développe alors une double activité : peinture et design graphique, d’abord à Saint-Malo, puis à Rennes et Nantes, où il devient directeur artistique à l’agence RSCG. Il fonde une famille avec Yolène Michel, avec qui il aura deux enfants.
Création et édition (1981–1999)
Jean Pierre Petit fonde sa propre agence de communication à Brest, puis à Saint-Brieuc. Son parcours évolue ensuite vers l’édition, notamment avec la création d’une maison d’édition spécialisée en architecture. Il collabore avec des musées méditerranéens pour la création de produits culturels et expose régulièrement, notamment au Centre d’art européen de Gruissan.
Reconnaissance publique et projets transdisciplinaires (2017–2019)
Après plusieurs années d’activités diversifiées, il revient sur le devant de la scène artistique avec des expositions personnelles à Paimpol, Lannion et dans la maison de Louis Guilloux. Ces événements donnent lieu à la publication de catalogues et soulignent l’importance de son lien à l’écriture et à l’humain. En 2019, une rétrospective majeure est organisée à Saint-Brieuc, et il crée les décors du spectacle “Epopopoï, popoï !” avant de faire construire sa maison-atelier à Tréveneuc.
L’art au cœur du vivant (2020–2025)
Toujours actif, il multiplie les collaborations et les expositions. Certaines de ses œuvres inspirent une ligne de vêtements à Montréal, d'autres investissent des lieux de soin comme l’hôpital privé des Côtes d’Armor. Il peint le plafond du bloc opératoire, expose dans plusieurs villes bretonnes et participe à des performances mêlant art, théâtre et musique. En 2025, il publie un recueil de poésie illustré, fruit d’une création partagée avec sa femme Yolène Petit et l’auteur Ollivier Ruca.